Starlight by Supermen Lovers

Back to the 2000s.
Certes, on ne les a pas encore quitté, mais il faut dire qu'en ce début de décennie, la musique electro rock avait une senteur particulière. Phoenix émergeait avec If I Ever Feel Better, Modjo faisait danser les Ladies, et les Supermen Lovers chantaient au clair d'étoile.

Un son vraiment typique mais pas pour autant démodé. C'est rafraichissant, buvez-en !

(Le concept des Supermen Lovers étant purement artificiel, aucune photo n'illustre l'article).

Life On Mars by David Bowie

La voix de Bowie est chargée d'émotion.

Dès les premières notes de piano, la voix chaude du créateur de Ziggy Stardust vous prend aux tripes. Les glandes lacrymales se remplissent mais non, rien ne sort.
Pas le moment sûrement, nul besoin de craquer.

Pourtant toutes les conditions sont réunies.
C'est beau, pur ...

Maybe Tomorrow by Stereophonics

Vraiment, une voix comme celle de Kelly Jones, ça ne s'invente pas.
Ca s'écoute religieusement. Les esgourdes bien ouvertes, les enceintes bien clean et le silence d'une nuit de rentrée scolaire en ambiance.

Oasis n'est plus, mais la brit pop est loin de disparaître avec les frères Gallagher. Et ceci n'est qu'un exemple parmi d'autres.

Toxicity by System Of A Down

Généralement, quand on revient d'un petit voyage, même de quelques jours, il y a une musique qui vous a marqué.
En l'occurrence, en revenant d'un festival, il y a plein de musiques qui m'ont marqué.
Difficile de choisir donc.

J'ai déjà abordé les concerts. Il me reste alors les chansons qui nous réveillent en douceur le matin après une nuit bien fraiche sous la tente. Celles jouées à la guitare et qui vous filent une pêche dès le réveil.
Pas nécessairement des chansons calmes, mais des titres que vous connaissez et que vous fredonnerez pendant les concerts des artistes dont vous vous fichez.
Des titres comme celui-là.

Maxi Best Of n°10

Mieux vaut tard que jamais non ?

Je suis rentré hier, jour de mes 21 ans, de mon festival et n'ai donc pas eu le temps de compiler les votes du mois d'aout dans la soirée.
J'ai pu le faire dans la journée et je vous livre donc le tout sur un plateau, comme d'habitude en 3 versions : le player exportable sur le blog, la liste sur Spotify et les 16 morceaux disponibles en téléchargement sur Rapidshare (pour les 10 premiers uniquement).

Maxi Best of 8

I Can't Keep From Crying Sometimes by Ten Years After

De retour du cabaret depuis hier soir. Des coups de soleil plein les bras et la figure, des rencontres vraiment agréables, des souvenirs plein la tête et déjà pressé de retourner dans les Ardennes l'an prochain.

Parmi les groupes aperçus là-bas, la plupart de ceux qui m'intéressaient ont été publiés ce week end. A part justement Ten Years After.
Une moyenne d'âge autour de 60-65 ans à vue d'oeil et un jeu qui respire l'expérience, le plaisir et la dextérité. Ah oui, ils étaient déjà présents à Woodstock.
40 ans donc qu'ils procurent le même plaisir.

Fire Coming Out Of The Monkey Head by Gorillaz

Comme un bon Tarantino (Inglorious Basterds, pour ne citer que lui. Courez-y !).
Beaucoup de blablah, peu de mélodie, mais le tout reste très efficace, crée une ambiance et sait mélanger les genres afin d'en créer un nouveau.

N'est pas un génie qui veut hein, mais Damon Albarn comme Quentin Tarantino en sont, sans le moindre doute.

(Ceci n'est pas une critique de Inglorious Basterds).

Ah, et j'ai 21 ans !

Playlist n°41

Le moindre que l'on puisse dire, c'est que cette semaine aura été éclectique sur le plan musical. Chanson française, hip hop, rock ou pop anglaise, on en a eu pour tous les goûts.

Le festival se finit aujourd'hui, mais je ne serai sur Paris (avec un accès internet donc) que demain dans l'après midi. Vous ne pourrez donc voter que lors de mon retour. D'ici là, vous pouvez toujours vous faire votre opinion en écoutant la playlist.

playlist 41

La Pute Au Grand Coeur by Pierre Perret

La star de la journée, à Charleville Mézières (toujours au Cabaret Vert donc), c'est Pierre Perret.

Honte à moi, jusque là, j'étais plein d'a priori sur le bonhomme. Jusqu'à en rire avec mes potes "j'vais à un festoche cet été, voir ... Pierre Perret" (rires dans l'assemblée).
Mais en fait, celui que je prenais pour une icône de la chanson pour enfant n'en est pas moins un amateur de chansons paillardes. Et pour un dernier jour, ça fera forcément du bien.