Rock & Roll Queen by The Subways

Parfois, même dans cette ère du numérique et du single, il suffit d'un titre convainquant pour vous pousser à acheter un album.
A fortiori lorsqu'il s'agit de la première galette d'un groupe encore balbutiant mais non moins performant.

C'est ce qui m'était arrivé en 2005 avec l'album Young For Eternity de The Subways. Une agréable surprise. Du rock rentre-dedans, catchy et efficace.

Et puis, il faut bien l'avouer "Rock & Roll Queen", ça envoie comme titre de chanson !

Road Tripping by Red Hot Chili Peppers

L'une des plus belles mélodies du combo californien. Comme toujours, la guitare de Frusciante et la basse de Flea se marient à merveille.
La voix de Kieidis, supportée par les choeurs de Frusciante vient sublimer le tout.

Un road trip' certes, mais comme souvent avec les Red Hot, c'est avant tout une histoire d'amitié sincère.
Et un road trip' avec des amis, what else ..?

Raid The Radio by General Elektriks

"Raid, the radio, we're tired hearing, the same old song"

Puisque c'est aussi le principe de ce blog, de vous présenter des morceaux qui ne passent pas H-24 sur les ondes FM de NRJ et consorts.

Et, autant quand Johnny chante "j'en ai assez d'entendre à la radio les mêmes sons et les mêmes tempos", la crédibilité n'y est pas, autant là, on ne peut que souhaiter à General Elektriks de remplacer ces fameuses "vieilles chansons".

(Merci à Scriptural pour le titre)

Calling You by Jevetta Steele

Un café perdu en plein milieu de la route 66. Le désert partout aux alentours et rien d'autre que le silence et l'introspection.

Il suffit d'une seule mélodie pour s'y croire. Fermer les yeux en se retrouver outre-atlantique à boire une bière entourée par l'étouffante chaleur du désert américain.

Une mélodie pour s'y croire ...

Arriving Somewhere But Not Here by Porcupine Tree

Décidément le mois d'octobre sera chargé en concerts ou ne sera pas.
Ce soir, pour une fois, je n'y vais pas seul.

Le groupe de Steven Wilson se produit à l'Olympia. Difficile à croire tant la salle parisienne est intouchable. J'attends impatiemment de voir écrit Porcupine Tree en lettres de lumières rouge sur le fronton de la salle du boulevard des Capucines.

Quoiqu'il en soit, un pied énorme est à prévoir. Me laisser emporter et non, finalement, ne rien prévoir et me laisser guider par mes émotions. Parce que, plus que pour n'importe quel groupe, Porcupine Tree joue avec nos émotions, nos souvenirs et les moments auxquels leur musique est irrémédiablement liée.
De bons moments ...

All I Wanna Do by Sheryl Crow

Que dire ? L'inspiration me manque, mais je dois néanmoins me lancer.
Il ne me viendrait pas à l'esprit de vous présenter une musique sans vous en dire quelques mots. Que dire donc ?
Que ce morceau a bercé ma jeunesse ... Mouais, certes. Mais pas suffisant.
Qu'il m'évoque les vacances et les trajets familiaux en voiture ? Mieux déjà.

Qu'il est irrémédiablement lié à cet esprit de calme et de repos et, qu'en tant que tel, il sait figer un sourire sur mes lèvres pendant 4 minutes et 7 secondes. Voilà !

Playlist n°47

La fin de deux semaines de transition.
Je sais quoi faire de mon année, au moins jusqu'en février. J'ai trouvé un stage, la vie me sourit. Le concert d'Archive d'hier, bien que plutôt décevant, m'a permis de réaliser la chance que j'avais.

Si le bonheur n'est qu'un objectif, je peux au moins dire qu'en ce moment, je m'en rapproche.

playlist 41

Accelerator by The O.A.O.T's

On ne pense que trop rarement à l'influence que peut avoir un jeu vidéo dans notre culture musicale.
Après vous avoir parlé de Kasabian que j'avais découvert via Fifa, voici The O.A.O.T's, découverts par le biais de Tony Hawks Downhill Jam.

Un accelerateur. Le nom est particulièrement bien choisi.
Du punk rock dans sans plus simple appareil.

(désolé, je n'ai trouvé aucune image convenable à associer au billet).